Financer la création d’une start-up / l’acquisition d’une entreprise.
La création d’une start-up comme l’acquisition d’une entreprise préexistante soulève toujours la même difficulté financière qui est celle de l’insuffisance des fonds propres requis pour assurer son développement et sa pérennité dans les premières années de son existence, avec la conséquence d’un taux d’échec qui demeuré élevé pour cette raison. La mobilisation de financements bancaires à cet effet demeure un parcours long et toujours très incertain. Quand bien même les financements publics tendent à se développer en France au service de la création d’entreprises, ceux-ci demeurent très limités par comparaison avec d’autres pays, outre que le financement par des investisseurs privés des jeunes entreprises demeure encore étranger aux habitudes françaises, nonobstant les avantages fiscaux qui y sont attachés. La réalité en France est que pour financer la création d’une start-up ou l’acquisition d’une entreprise, on n’est jamais mieux servi que par soi-même, avec la nécessité tout au moins de mobiliser un apport personnel suffisant.
La vente à soi-même qui réserve au propriétaire d’un bien immobilier la possibilité d’en monétiser la valeur et d’en recevoir l’essentiel du prix dès après sa réitération authentique en l’étude d’un notaire permet de réunir cet apport en tout ou pour le moins en partie à concurrence de la valeur du patrimoine immobilier qui est mobilisé à cet effet.